'District 9' - another review, still subjective
Les extraterrestres, comme tout le monde le sait, sont capables de plusieurs choses (dans l’ordre chronologique) : inviter Truffaut et faire un concert son et lumières aux Etats-Unis, faire voler des enfants nord-américains sur un vélo, déchirer brutalement les entrailles humaines en sortant de la cage thoracique d’un citoyen des Etats-Unis, faire exploser la Maison Blanche, sortir du sol nord-américain et récolter des citoyens des Etats-Unis. Un vent de fraîcheur souffle sur l’un des thèmes de science-fiction préférés des cinéastes, à savoir la rencontre entre l’Homme et l’Autre, le Non-Humain. Amateurs de science-fiction et autres geeks, rassurez-vous : vous n’avez pas encore tout vu!
“District 9” aborde ce thème de manière intelligente, au risque de convertir même le spectateur cynique que abréviation “S-F” fait d’habitude soupirer et rouler les yeux au ciel.
L’habile métissage des genres vise, à mon avis, exactement cela : à voir au-delà des effets spéciaux et hôtes venus de galaxies lointaines. Le mockumentaire accroche par son réalisme et permet au spectateur de se poser des questions quasi existentielles, tout en se distrayant d’images d’explosions, lasers, vaisseaux volants et mandibules d’insectes.
Que l’on ne se leurre pas – c’est bien l’Homme qui est au centre de l’histoire, ses défauts et ses qualités se mesurant à l’échelle d’une civilisation entière.
“District 9” offre une fable à la fois fantastique et réaliste, reflétant les maux de notre époque.
Les extraterrestres, comme tout le monde le sait, sont capables de plusieurs choses (dans l’ordre chronologique) : inviter Truffaut et faire un concert son et lumières aux Etats-Unis, faire voler des enfants nord-américains sur un vélo, déchirer brutalement les entrailles humaines en sortant de la cage thoracique d’un citoyen des Etats-Unis, faire exploser la Maison Blanche, sortir du sol nord-américain et récolter des citoyens des Etats-Unis. Un vent de fraîcheur souffle sur l’un des thèmes de science-fiction préférés des cinéastes, à savoir la rencontre entre l’Homme et l’Autre, le Non-Humain. Amateurs de science-fiction et autres geeks, rassurez-vous : vous n’avez pas encore tout vu!
“District 9” aborde ce thème de manière intelligente, au risque de convertir même le spectateur cynique que abréviation “S-F” fait d’habitude soupirer et rouler les yeux au ciel.
L’habile métissage des genres vise, à mon avis, exactement cela : à voir au-delà des effets spéciaux et hôtes venus de galaxies lointaines. Le mockumentaire accroche par son réalisme et permet au spectateur de se poser des questions quasi existentielles, tout en se distrayant d’images d’explosions, lasers, vaisseaux volants et mandibules d’insectes.
Que l’on ne se leurre pas – c’est bien l’Homme qui est au centre de l’histoire, ses défauts et ses qualités se mesurant à l’échelle d’une civilisation entière.
“District 9” offre une fable à la fois fantastique et réaliste, reflétant les maux de notre époque.
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